STEFANIA BECHEANU
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Cette installation visuelle et sonore de Stefania Becheanu trouve son impulsion dans le livre Quant à je (kantaje) de Katalin Molnár (Paris, POL, 1996). Réécrit et interprété depuis une autre trajectoire de vie, le texte invite à une nouvelle écoute qui engage tout le corps.
Les lettres se déplacent de l’espace de la page vers les murs, où elles forment des tableaux-paysages et tracent des chemins de traverse. Dans sa version immersive, l’œuvre se complète de quatre haut-parleurs disposés autour du public. Le voyage se prolonge par une performance de l'artiste, tirant des fils de couleurs pour faire jouer une guitare.

Cette œuvre a été créée à l’invitation de Myriam Suchet dans le cadre de sa recherche-création financée par l’IUF (https://www.iufrance.fr/les-membres-de-liuf/membre/2044-myriam-suchet.html). Elle a été présentée pour la première fois lors de l'exposition Quand, soudainement organisée par le Réseau Université de la Pluralité (du 1er au 6 octobre 2021 au 81 boul. Voltaire, Paris). Elle est aussi exposée de façon virtuelle dans la galerie numérique du site  https://enfrancaisaupluriel.fr

Voici la présentation sur le site de l'exposition :
De “la bouche” aux oreilles parle aussi de la compréhension de la langue et les obstacles qui se dressent dans le parcours des nouveaux arrivants allophones en France qui sont interrogés. Becheanu nomme dans cette installation une série de questionnements sur la confiance ou la solitude, mais aussi sur la force créative, l'indépendance, la prise de parole et la réappropriation de la langue (souvent qualifiée de “fautive”) par ceux et celles dont on prétend qu’ils et elles ne la maîtrisent pas. Ce sont les mots de Molnár que Becheanu donne à voir dans son projet , mais en même temps, par le choix des phrases à exposer, les changements qui y sont apportés et la manière dont ils sont mis en scène et performés,  ils deviennent alors partie intégrante de la réalité de Stefania Becheanu par le souvenir de son arrivé en France. Par exemple, un des tableaux raconte la poésie de la langue de l’Europe de l’est, mais aussi l’envie de s'exprimer malgré le chagrin d’amour; Stefania Becheanu suggère alors que la solution au chagrin et aux frustrations de l’incompréhension et de l’incommunicabilité peut se trouver dans la danse et dans le mantra “pas pleurer”.
actualité : ​Dans le cadre du colloque : Rémanence de "l’écrire classique" en régime littéraire contemporain (Années 1980-2020) du 22 septembre 2022 au 24 septembre 2022 , La Maison de la Recherche de l’Université Sorbonne Nouvelle accueille l'exposition de la Stefania Becheanu, plasticienne sonore, artiste performeuse et musicienne indisciplinaire.
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