STEFANIA BECHEANU
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« Paru en 1996 chez POL, Quant à je (kantaje) de Katalin Molnár, explose la linéarité attendue du récit : au lieu de raconter l’histoire de son exil, la narratrice opère une forme de montage entre des fragments dont les provenances sont indiquées en marge. L’effet d’étrangeté de la structure est redoublé par l’orthographe : à première vue, la langue d’écriture semble si étrange qu’on se demande si le texte sera vraiment lisible – voici, à titre d’exemple : [...] é kan chui venu an Frans, chparlè pa, chparlè peû, chparlè mal, toutfasson, chkonprenè trè mal skon me dizè mé kan chparlé, charplé kom Kornèy é Rassinn : « Ô kruèl souvenir de ma gloire passé ! Euvre de tan jour an un jour éffasé! »
Stefania Becheanu s’intéresse à ce texte depuis un double point de vue : en quoi ce texte propose-t-il un imaginaire alternatif à ce que l’on appelle « la langue » et comment peut-il à son tour inspirer un nouveau geste de création ? »
— Myriam Suchet, maître de conférence, Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3
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